2) Der Kulturschock...
“Der Kulturschock des unbekümmerten Reisenden, eine amüsante Episode”
Kairo - es ist eine Megapolis… sui generis… die bei dem ersten Moment des Kennenlernens den Fremden verwirrt und verunsichert… wenn er z.B. vom Flughafen zur „Innenstadt“ auf einer der Hochstraßen, die sich wie in einem WirrWarr verknoten, mit einem Taxi nachts in ein Irgendwo oder Irgendwie zu gelangen denkt. Abgesehen, daß so oder so immer ein Verkehrsstau besteht, hat der geschätzte Fremde den Ausblick aus der Höhe auf andere Straßen oder auch Plätze, die nicht zur Ruhe kommen wollen oder können oder was auch immer! Will sagen, egal wann oder wo, das philosophische “panta rhei”... soll heißen alles fließt und ist in Bewegung... wird von diesem Ungetüm einer Stadt auf Jota und Komma strikt befolgt! Aber wie faszinierend ist das Panorama, das sich in wechselhaftem Lichterrausch darbietet, wobei natürlich eine Orgie von Geräuschen, auch musikalischer Konvenienz… der Orient verpflichtet… zu ihrem Recht kommt.
Selbst der vielgereiste Fremde empfindet zunehmend ein Glücksgefühl... er entkrampft und sieht sich auf den Spuren des Entdeckers einer neuen und anderen Welt, von der er angesichts großartiger fatimidischer Bauwerke, die an ihm vorüberziehen, eine Vorahnung von Alter und Raum erhält.
Die Zeitreise, so schwant es unseren Reisenden hat auch für ihn bereits begonnen… kaum angekommen! Diese Stadt ist nicht umsonst aus den Ruinen von Memphis erstanden, wie ein Phönix unter dem rätselhaften Namen Boinu oder auch Benu ganz im Zeichen von Râ dem Sonnengott.
(18 juin 2021)…
Le choc culturel du voyageur insouciant, un épisode amusant
Le Caire - c'est une mégapole... sui generis... qui déroute et déstabilise l'étranger dès le premier contact avec elle... s’il pense par exemple qu'il se rend de l'aéroport au "centre ville" par l'une des autoroutes surélevées, qui se nouent les unes aux autres comme dans un fouillis, avec un taxi la nuit pour aller de quelque part à je ne sais où. Outre le fait que, dans un sens comme dans l'autre, il y a toujours un embouteillage, l'estimé étranger à une vue depuis les hauteurs sur d'autres rues ou même d'endroits qui ne veulent pas ou ne peuvent pas s'arrêter bouillir ou quoi que ce soit d'autre ! Je veux dire, peu importe où et quand, la philosophie "panta rhei"... qui signifie que tout coule et est en mouvement... est strictement suivie à la lettre par ce monstre de ville ! Mais combien fascinant est le panorama qui se présente dans une ruée changeante de lumières, où bien sûr une orgie de sons, également de convenance musicale... Orient oblige... s'impose.
Même l'étranger qui a beaucoup voyagé ressent de plus en plus un sentiment de bonheur..... Il se détend et se voit sur les traces de l’explorateur d'un monde nouveau et différent, dont il perçoit une prémonition de l'âge et de l'espace au vu des magnifiques édifices fatimides qui défilent devant lui.
Le voyage dans le temps, comme le pressent notre voyageur, a déjà commencé pour lui aussi... à peine arrivé ! Cette ville n'a pas surgi des ruines de Memphis pour rien, tel un phénix sous le nom énigmatique de Boinu ou Benu sous le signe de Râ le dieu soleil./.