3) Der Schlafwandler und das Nilpferd…"
Eine groteske Geschichte, die sich hin und wieder einschleicht in meinen Zustand völliger Apathie, wo die Bilder, wie man so sagt, Laufen lernen. Der Schlaf ist ein Zustand, der hin und wieder aus philosophischer Sicht als kleiner Tod analysiert wird. Meine Bilder sind also streng genommen ein Sammelsurium von Gehirnströmen, die mir in meinem Dämmerzustand quasi seherische Impulse und Glücksgefühle bescheren! Mir kommt das Wort Felix... wie bei Felix Austria, in den Kopf… da hat man durch freudsche Manipulationen ... Venus sei Dank... ein Weltreich errichtet ohne auch nur den kleinsten Händel… mit den Nachbarn austragen zu müssen. Sie werden sich jetzt fragen, was das eigentlich alles mit meinem Dämmerzustand zu tun hat…
Ich kann diese Frage schon deswegen nicht beantworten, weil mir letztlich das freudsche Gedankengut abgeht und meine Apathie auch nicht hilfreich dabei sein kann, wenigstens einen Lösungsansatz zu finden… Also kommen wir wieder zurück auf den Ausgang meiner Geschichte vom Nilpferd, genauer gesagt dem kleinen wunderlich glänzenden blauen Nilpferd, Lotus verzierte Fayence aus pharaonischen Zeiten, als der Nil wahrscheinlich noch blauer als blau war und er es sowieso „locker“ mit der blauen Donau in Felix Austria hätte aufnehmen können. Das Blaue Nilpferd jedenfalls ist äußerst berühmt... auch wenn es nicht im Walzerklang einherkommt, was ja auch irgendwie absurd wäre…
Dieses Nilpferd hat eh so viel an Leben in sich, vor allem des Nachts, wenn es meine Träume prägt und mich in eine nostalgische Euphorie versetzt… ich treibe mit ihm
auf dem blauen Nil entlang und höre die süßen Klänge aus dem Reich von Nakht… Sirenen verstreuen ihren Zauber und ich fühle mich so schwerelos und glücklich… mich grüßen silbrig glitzernde Fische die in ihrer Schwerelosigkeit an mir vorbeiziehen! Langsam und im Gleichklang der Ruderer gleitet endlich eine pharaonische Barke von gleißenden Sonnenstrahlen getragen an den Ufern entlang, wo sich der lebensspendende Papyrus teilt…
Das kleine Nilpferd… ich halte es fest in meiner Hand als ich langsam wehmütig aus meiner Dämmerung zurück in das andere Jetzt eintauche…
Dank huldige ich meinem Talisman… dem kleinen großartigen Nilpferd… das sogar dem Louvre zur Ehre gereicht… (26 juin 2021)
"Le somnambule et l'hippopotame..."
Une histoire grotesque qui s'insinue de temps à autre dans mon état d'apathie totale, où les images, comme on dit, “apprennent à marcher” [NdT: premiers films muets en noir et blanc]. Le sommeil est un état analysé, de temps à autre d'un point de vue philosophique, comme une petite mort. Donc, à proprement parler, mes images sont un conglomérat d'ondes cérébrales qui me donnent des impulsions quasi-sérielles et des sentiments de bonheur dans mon état crépusculaire ! Me vient à l'esprit le mot Felix... comme dans Felix Austria... où à travers les manipulations freudiennes... merci Vénus... a été construit un empire mondial sans avoir eu à livrer des batailles avec... les nations voisines. Vous vous demandez probablement ce que tout cela a à voir avec mon état crépusculaire...
Je ne peux pas répondre à cette question, parce qu'en fin de compte, je n'ai pas le mode de pensée freudien et mon apathie ne peut pas non plus être utile pour trouver au moins une approche de solution... Revenons donc au début de mon histoire avec l'hippopotame, plus précisément le petit hippopotame bleu qui brille de façon fantaisiste, une faïence décorée de lotus de l'époque pharaonique, quand le Nil était probablement encore plus bleu que bleu et qu'il aurait pu "facilement" prendre le Danube bleu dans Felix Austria. L'hippopotame bleu, en tout cas, est extrêmement célèbre... même s’il n'arrive pas sur un air de valse, ce qui serait absurde...
De toute façon, cet hippopotame a tellement de vie en lui, surtout la nuit lorsqu'il façonne mes rêves et me plonge dans une euphorie nostalgique... je dérive avec lui le long du Nil bleu et j'entends les doux sons du Royaume de Nakht... Les sirènes répandent leur magie et je me sens en apesanteur et heureux... Les poissons argentés et scintillants me saluent et croisent mon chemin! Lentement, et à l'unisson des rameurs, une péniche pharaonique, portée par les rayons du soleil, glisse le long des rives où le papyrus vivifiant se divise.....
Le petit hippopotame..., je le tiens fermement dans ma main tandis que j'émerge lentement et avec nostalgie de mon crépuscule et plonge dans cet “autre” maintenant...
Avec remerciements, je rends hommage à mon talisman... le magnifique petit hippopotame... que même le Louvre honore…